Nous avons tous un rôle à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique. Du recyclage à la consommation locale en passant par l’utilisation des transports en commun, voici quelques actions à mettre en place dans son quotidien et qui ne demandent pas beaucoup d’investissement mais démontrent leur efficacité et leur impact sur l’environnement.
La planète a connu des refroidissements et des réchauffements successifs depuis deux millions et demi d’années mais, on le sait maintenant, rien de comparable à ce qui se passe depuis un siècle. Du fait de l’action de l’homme, la planète se réchauffe plus vite depuis cent ans qu’elle ne s’est réchauffée depuis des millions d’années.
Sont principalement considérés comme responsables :
Il ne s’agit pas ici de montrer du doigt les responsables mais bien de comprendre comment agir au quotidien pour atténuer la production des gaz à effet de serre.
Au risque d’enfoncer des portes ouvertes, nous revenons ici sur des gestes quotidiens que tout le monde peut faire sans difficulté :
Entre deux moyens de mobilité, l’éco-consommateur choisit toujours le plus durable. Pour cela, il faut trouver tous les moyens de mobilité existant sur nos trajets, et ils sont nombreux : bus, tram et métro urbains, train, car, vélo, marche à pied, skate, rollers, etc. Puis choisir le plus efficient, c’est-à-dire celui qui rend le meilleur service avec le moins d’émissions de GES. Et si la voiture est le seul moyen de déplacement possible, ne pas oublier le covoiturage.
Ça n’a l’air de rien, mais ces petites loupiotes allumées en permanence et tous ces chargeurs qui restent branchés nuit et jour dans le vide représentent plus de 10 % de la consommation énergétique d’un ménage. Pour en savoir plus, il suffit de lire l’article de Que Choisir sur le sujet.
Cela passe par plusieurs points :
Il faut savoir que le recyclage des plastiques ne représente que 26 % de la quantité de plastiques produits.
Deux choses contribuent largement à la production des GES : l’utilisation d’engrais azotés et le transport. En veillant à consommer des produits locaux, on contribue à limiter leur transport. En achetant des produits bio, on permet la diminution des productions intensives utilisant des engrais azotés.
Le végétalisme ou le végétarisme ne sont pas des pratiques validées par tous. Les consommateurs, en revanche, sont de plus en plus nombreux à diminuer leur consommation de viande, privilégiant la qualité à la quantité. Le flexitarisme contribue ainsi à limiter les émissions de méthane liées à l’élevage intensif d’ovins et de bovins.
Si la part de chaque éco-consommateur paraît être une goutte d’eau dans la mer, jointe à l’action de l’ensemble des consommateurs, elle prend une autre dimension.
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